Anxiété de séparation

Votre chien panique lorsqu’il reste seul ?

Je peux vous aider où que vous soyez en France !

Votre animal détruit, pleure, aboie, devient malpropre, et semble vraiment mal lors de vos absences … A force, peut-être que vous aussi appréhendez le fait de partir ! Il existe de multiples sous-problèmes potentiels. Dans de nombreux cas de figure, sachez qu’il existe des solutions pour l’aider à être davantage apaisé lorsqu’il doit rester seul.

Une approche personnalisée

Votre chien ne contrôle pas sa réaction lorsque vous partez. Pour de multiples raisons qui varient chez chaque chien, votre départ peut déclencher des comportements impressionnants (malpropreté, destructions, vocalises, déplacements frénétiques …). L’anxiété, la peur, la phobie, la frustration, sont des éléments naturels mais involontaires. 

Les problèmes liés à la séparation et solitude sont complexes et multiples. Ils peuvent aussi être la résultante de causes « indirectes », qui ne vous semble n’avoir aucun lien. Chaque cas nécessite une analyse individuelle.

Après une analyse poussée pour comprendre les spécificités de VOTRE chien, nous définirons le plan d’actions le plus adapté. Tous les leviers proposés essaieront de concilier vos besoins, ceux de votre chien, dans une logique de respect global. J’essaye d’aider autant l’humain que le chien !

Suspension des absences
Exercices quotidiens vers l’autonomie
Travail à distance
Suspension des absences
Exercices personnalisés vers l’autonomie
Travail à distance

Étape 1 : Analyse approfondie

Bilan comportemental

Séance de 2h – Visio

110€

Parcours à l'unité

Séance de suivi

1h – Visio

Consultation en visio 60€/h

Supplément présentiel (Tours) – 15€/h

3 séances en visio + 1 mois de suivi WhatsApp 1H/jour – 250

Soutien WhatsApp - 1 mois

Option supplémentaire

90€

Parcours intensif

Forfait désensibilisation

Parcours de 4 ou 8 semaines

4 semaines – 400€

4 semaines + 2 séances à l’unité* – 500

8 semaines* – 750€

*Possibilité de paiement en 2 fois sur les forfaits de plus de 4 semaines.

Quels résultats espérer ?

Après l’accompagnement, vous serez en mesure de :

Avoir des objectifs réalistes
Arriver à analyser le langage corporel de votre chien
Construire vos propres exercices pour la suite
Arriver à tenir compte de vos propres émotions
Avoir des objectifs réalistes
Arriver à analyser le langage corporel de votre chien
Construire vos propres exercices pour la suite
Arriver à tenir compte de vos propres émotions

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FAQ

Est-ce que l'on commence les exercices tout de suite après le bilan ?

Il est rare que l’on se lance tête baissée dans les exercices de désensibilisation après seulement un bilan.

La majorité des cas nécessite une analyse poussée, qui nécessite d’abord plusieurs séances du parcours à l’unité. En effet, je dois comprendre le profil global du chien pour vous proposer les solutions détaillées les plus adaptées. Très souvent, les chiens présentent d’autres problèmes de comportement que la solitude. Il faut généralement les adresser en premier. Il faut aussi être prêt à consulter un vétérinaire si besoin.

Tout dépend des cas : néanmoins si des exercices me semblent pertinent pour votre chien dès le début, nous pourrons aller directement à cette étape. Attendez-vous néanmoins à planifier quelques séances à l’unité avant !

La quasi totalité des cas nécessite que le chien soit apaisé pour qu’il soit capable d’apprendre. Cet apaisement doit passer par l’évitement temporaire des situations problématiques pour lui. Vous devrez donc suspendre vos absences le temps de l’analyse et de l’apprentissage ; sans cela, l’amélioration est souvent impossible. Le chien peut bien sûr être gardé par quelqu’un d’autre que vous. S’il a peur des inconnus, ou s’il ne supporte pas d’être séparé de vous, nous aborderons ce sujet en priorité. 

Dans l’apprentissage, on cherche toujours à respecter le seuil de tolérance de l’animal (et celui de l’humain). Votre chien pourra rester de plus en plus longtemps seul, mais ne devra pas être exposé à sa peur à un seuil supérieur à ce qu’il peut supporter. Ce seuil sera progressivement de plus en plus haut, mais sans déclencher d’émotion négative chez le chien. 

Voici un exemple pour mieux comprendre. Si vous avez une peur bleue des tigres, je peux d’abord essayer de vous exposer à distance à un petit chaton, avec une barrière. Vous pouvez tous les jours venir voir ce chaton, sur une durée/distance à votre convenance, pour vous désensibiliser d’abord aux félins en général. Ensuite, au bout de plusieurs semaines peut-être, nous enlèverons la barrière avec ce chaton bien tranquille dans son coin, puis progressivement vous vous rapprocherez, jusqu’à pouvoir le toucher. Puis, nous passerons à un chat adulte en remettant la barrière, et ainsi de suite.

Si entre deux exercices avec le chaton, je vous replonge d’un seul coup dans une arène avec 3 tigres, quelle va être votre réaction ? Il est fort probable que cela annule tout le travail fait auparavant (avec un petit traumatisme au passage).

C’est pareil pour la solitude et votre chien. Votre loulou PEUT apprendre progressivement que lorsque vous vous dirigez vers la porte, cela n’annonce rien de terrible, et même quelque chose de … plutôt banal. 

Les exercices prennent une quinzaine de minutes maximum par jour au début. Vous vous entraînerez 4 à 5 jours par semaine.

Plus vous allongerez la durée, plus ils vous prendront de temps quotidiennement, donc la fréquence peut naturellement diminuer au fil du temps. C’est que ce je vous souhaite, c’est qu’il y a du progrès ! 

Chaque semaine, vous devrez faire une pause sur 2 jours consécutifs. Les pauses plus longues pour d’autres impératifs (vacances, maladie, …) sont bien sûr possibles.

Il s’agit d’un processus long. Le temps total d’analyse, le travail d’apaisement global, puis de désensibilisation à la solitude, est très variable en fonction du chien, de son passé, de sa capacité d’apprentissage, du point de départ, de votre capacité à suspendre les absences et à dérouler les exercices, … 

Ce temps dépend aussi de votre objectif : certaines personnes se contenteront de 1 heure d’absence, d’autres de 4 heures. Dans tous les cas, sachez que les échelles de temps se comptent en mois. Certaines familles étalent leur progrès sur plus d’un an (mais pas toutes). Le rythme de progression n’est jamais linéaire, puisque des processus cérébraux complexes d’apprentissage et d’anxiété entrent en jeu.

Il faut aussi comprendre que même si les exercices se ressemblent, de nombreuses variables sont manipulées d’une période à l’autre : l’humeur du jour, la digestion, l’heure exacte de la journée, la météo, la personne qui part, la santé, les signaux introduits (même si progressivement), les départs multiples dans la journée, … La progression n’est jamais constant et les diminutions soudaines de durée sont inévitables. Ce protocole demande une grande patience et une grande capacité d’observation.

La durée des accompagnements intensifs est trop courte pour que le problème soit résolu à 100% en quelques semaines. Néanmoins, vous serez en mesure de continuer seul. Si des questions approfondies vous viennent par la suite, des séances de suivi à l’unité seront disponibles.

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